L’envers du deuil

Les faisceaux du deuil
Les faisceaux du deuil


Faire son deuil. C’est donc quelque chose d’actif, que l’on construit. Et qui qui nous construit.

Petit à petit, pas à pas.

Parfois après avoir été pris·e par surprise, parfois en ayant pu anticiper quelque peu. La perte demeurera toujours une expérience douloureuse, frustrante et terrifiante. Mais le deuil ne vient jamais seul. Il amène toujours avec lui des couleurs nouvelles. Ses faisceaux ne sont pas stériles et sont toujours accompagnés d’une promesse de renouveau et de lumière. Avec un peu des débris et des éclats de ce qu’il reste après une déchirure, une rupture, un décès, beaucoup de qui nous sommes vraiment tout au fond se révèle et trouve l’espace d’exister. Les masques tombent, les mues se déposent, les illusions s’envolent. Pour que flamboient nos vraies couleurs. Dans l’envers du deuil.

Les couleurs du deuil
Les couleurs du deuil

2 commentaires sur « L’envers du deuil »

  1. le deuil de ma vie antérieure avant cet accident, que et comment serais-je devenu sans cela? Et maintenant comment repartir dans ma vie suite à cet accident avec ces séquelles qu’il m’a laissé?
    encore et encore de grandes questions que seul l’avenir me dira!

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